

L’intérêt d’un jardin, à mon sens, c’est d’être en relation au vivant : rien n’est figé, tout est évolutif, bouge, se déploie, parfois périclite, d’autres fois fleurit… Le jardin c’est du mouvement, pour faire un clin d’œil à Gilles Clément!
Aussi, les mois du printemps se succèdent et apportent chacun leur lot d’entretien à réaliser.
Les aubépines plessées l’an dernier, avec leurs nouvelles pousses, partaient de nouveau dans tous les sens, aussi était-il nécessaire d’intervenir.
Je souhaitais installer un point d’eau dans le jardin, car je n’en ai aucun. J’ai donc acquis un petit bassin préformé rond, d’un diamètre d’environ 1m, pour moins de 40cm de profondeur.
Il y a deux ans, j’avais tenté de réaliser plusieurs greffes sur des pruniers, aubépines et cerisier de Montmorency existants dans le jardin.
Le résultat a été très mitigé, pour ne pas dire plutôt décevant. J’ai eu 3 greffes qui ont survécu, dont il ne subsiste aujourd’hui plus qu’une seule. Une a dépéri l’été dernier et l’autre, je l’ai malencontreusement détruite, pensant, à tort, qu’elle avait périclité.
La seule greffe qui a tenu modestement le choc est une greffe de poirier ‘Saint Jean’ sur aubépine. Sa croissance est réduite, mais elle est toujours là.
Nous avons eu, selon beaucoup de personnes, un hiver extrêmement pluvieux. Je dois confesser que je n’ai pas eu cette impression, en revanche, nous avons eu (et avons) beaucoup de vent. Février 2020 nous a offert son lot (trop abondant) de coups de vent/tempêtes.
Celles-ci ont cassé des branches, et ont fait écrouler le mur mitoyen Sud au jardin en cours, comme on peut le voir!
J’ai eu le plaisir d’animer un stage d’initiation à la permaculture à Doue, en octobre dernier. Le stage a réuni une dizaine de stagiaires, dans les anciens locaux de la Poste.
Le stage a duré deux journées, samedi et dimanche.
En début d’année 2018, j’avais travaillé sur le réaménagement d’une portion de jardin seine-et-marnais.
J’ai eu la chance de travailler sur la conception d’un petit jardin urbain d’environ 80m², au cours de l’année 2019.
Le jardin se trouve devant la maison et fait front à la rue résidentielle. Il appartient à une famille : un couple et trois enfants.
Lire la suite de « Conception d’un petit jardin urbain et nourricier » →L’automne arrivant, j’ai pu continuer mes petites délimitations des massifs à l’aide de fascines de noisetier.
Les deux noisetiers du terrain avaient été recépés la saison dernière, afin de favoriser la repousse de jeunes tiges longues et souples. Cependant ces seuls sujets n’ont pas été suffisants pour fournir les mètres linéaires de fascines à installer. J’ai complété mes ressources en grappillant des rameaux au jardin La Parmélie et sur des noisetiers alentours.
Lire la suite de « Jardin en cours # épisode 26 » →L’an passé, j’avais sauvé de la déchetterie des chrysanthèmes, en les récupérant des poubelles du cimetière. Un certain nombre d’entre eux ont survécu et m’ont offert des floraisons assez spectaculaires, eût égard au reste du jardin!
Lire la suite de « Jardin en cours # épisode 25 » →